Je n'en peux, plus.
Je ne répondrais plus de rien. A personne, pour rien. Pas juste pas comme ça, par pour le fun. L'accumulation fait que. J'en ai assez, bordel, de m'éparpiller partout où tu veux. J'ai si mal. Un jour tu me dis que oui, ca ira, on y arrivera, à tout remettre dans l'ordre, pardonner sans oublier. Effacer les regrets, ne plus se dégouter. Puis le lendemain, tu ne viens plus. Tu m'ignores et me salis, comme tu sais si bien le faire. Je deviens une petite conne, une salope que tu méprises. Une fille qui ne vaut pas le coup. Mes mots chocs, ceux qui tu sais. Tu les as trouvé dur, je le sais. C'était fait pour. Pour te secouer, t'ouvrir les yeux. Te dire que, ces choses que je n'ai pas dites. Enfouies. Cachées. Poussiérées. Ne t'en fait pas, je te hais pour avoir franchi le seuil de l'amour. Tu vois. Non, tu ne vois plus. Tes yeux sont fermés, bouchés, par tant d'amertume. Les miens sont givrés, avec ces putains d'images fixes dans ma tête. Ceux où, encore, l'on pouvait. Mais tu m'oublies, mais je m'enfouie. Mais je pourrais presque dire que.